Les ours croient qu'une infraction se produira
Ils ont établi la course en quatre matchs avec Bill Lazor appelant des jeux. Mais transformer ce succès en un jeu de passes productif a été problématique. Ils sont sixièmes pour la course mais 32e pour les passes.
L'offensive des Bears sous Matt Nagy est une version tordue d'une vieille maxime de boxe : ils peuvent courir, mais ils ne peuvent pas passer.
Lorsque les Bears ont établi un match de course contre les Lions (188 verges) et les Raiders (143) lors des deux premiers matchs du coordinateur offensif Bill Lazor en tant qu'appelant, la prochaine étape logique était une expansion du jeu de passes. Dans la théorie du football, une défense axée sur l'arrêt du jeu de course devrait créer des opportunités dans le jeu de passes.
Vous essayez toujours de garder une longueur d'avance sur les défenses, a déclaré Nagy après que les Bears se soient précipités pour 143 verges mais aient réussi 109 dans une victoire de 20-9 contre les Raiders à l'Allegiant Stadium de Las Vegas le 10 octobre.
Peut-être que certains jeux sont des actions de jeu qui ont plus de succès que d'autres. Peut-être que c'est du drop-back ou peut-être que c'est du RPO ou que c'est sur le bord avec des mouvements et des nus. Tout est basé sur les choses que vous voyez qu'une équipe va [do].
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Cela semble bien en théorie, mais en pratique, cela n'a pas tout à fait fonctionné. Les Bears ont continué à bien courir contre les Packers (140 yards) et même contre les Buccaneers n°1-
défensive contre la course classée (143 yards). Mais cela ne s'est pas encore traduit par une amélioration du jeu de passes. Les Bears ont récolté 137 verges par la passe contre les Packers et 168 contre les Buccaneers.
Au cours des quatre derniers matchs, en fait, les Bears ont accumulé en moyenne 153,5 verges au sol – le quatrième meilleur de la NFL au cours de cette période. Mais ils sont 32e et dernier de la NFL en passant dans la même période (149,8).
Cela semble être un autre drapeau rouge pour l'offensive des Bears qui se développe lentement. Sur les huit meilleures équipes au sol de la NFL, sept font partie du top 11 en attaque totale. La valeur aberrante est celle des Bears, qui occupent le sixième rang pour la course au sol et le 32e pour l'offensive totale.
Qu'est-ce qui se passe avec ça?
Je ne pense pas que cela ait quoi que ce soit à voir avec le jeu de course, a déclaré Lazor à propos de la faible production de jeux de passes des Bears. Je pense que cela a à voir avec [avoir] à être meilleur avec les détails du jeu de passes - l'assembler; faire les pièces quand elles sont disponibles. Je ne parle pas seulement de sauter et d'attraper le ballon. Je veux dire, bloquer la personne que nous sommes censés bloquer ; être ensemble avec la façon dont nous allons le bloquer ; le moment de la fermeté de la protection ; correspondant à la synchronisation des itinéraires.
Lazor, qui reconnaît la réalité autant que n'importe quel membre du personnel de Nagy, sait que c'est un bugaboo important. Lorsque vous êtes 32e [in the NFL], nous pourrions passer beaucoup de temps à en parler, a-t-il déclaré.
En effet, les petites choses empêchent l'offensive de l'équipe de décoller. Lors du deuxième match contre les Buccaneers, le porteur de ballon recrue Khalil Herbert a réagi trop tard à une reprise de blitz, et Justin Fields a été limogé. Lors de la possession suivante des Bears, l'ailier rapproché Cole Kmet a laissé tomber une troisième et huit passes pour forcer un botté de dégagement.
Il n'y avait probablement que deux ou trois disques dans ce jeu – et le jeu était déjà incontrôlable – où vous avez vraiment senti que nous étions entrés dans un rythme, que ce soit le tempo ou certains achèvements, a déclaré Nagy. Ainsi, vous pouvez arriver à un point où vous avez du mal et les choses ne semblent pas aller dans votre sens, puis les gens commencent à insister, et c'est ce que nous ne voulons pas.
Fields n'a commencé que cinq matchs dans une attaque qui a lutté pendant des années, quel que soit le quart-arrière. Mais il y a peu de signes d'une percée. La lumière au bout du tunnel ressemble toujours à un train venant en sens inverse.
Nous savons que nous pouvons être bien meilleurs, a déclaré Nagy. Nous le savons - parce que nous le voyons sur bande. Les trucs que nous montrons sur film que nous avons fait dans le passé – c'est là. Maintenant, il ne s'agit plus que de tout assembler.
Pa: